L’Opérette

de Valère Novarina
un acte de L’Opérette imaginaire

 

Mise en scène

Marie Ballet et Jean Bellorini

 

Avec

Marc Bolenger
Aurélie Cohen
Boutaïna Elfekkak
Karyll Elgrichi
Matthieu Fayette
Jean-Christophe Folly
Céline Ottria
Amélie Porteu De La Morandière
Romain Quichard
Goeffroy Rondeau
Jérémie Sonntag
Francois Perache
Camille Voitellier

 

compositions originales

Jean Bellorini

musiques additionnelles

Gounod, Haendel, Mozart, Schubert, Vivaldi

Costumes

Marie La Rocca et Peggy Sturm

Scénographie

Nicolas Diaz

Régie générale

Vincent Lefèvre

Régie plateau

Mathieu Coblentz

Administration et diffusion

Jean-Baptiste Pasquier
(Bureau FormART)

Production

Compagnie Air de Lune

 

Avec le soutien de

la DRAC Ile de France
JTN
l’Adami
Arcadi
la Spedidam
la Mairie de Paris

Ce qui nous touche dans L’Opérette imaginaire, c’est la détresse dans laquelle la langue plonge tous les personnages. Qui parle à travers eux ?
C’est comme si tous les personnages « étaient parlés » : quelqu’un ou quelque chose s’exprime à travers eux et demeure invisible, insaisissable.
Nous avons envie de nous plonger dans l’univers de Valère Novarina, dans cette écriture qui donne la priorité à l’humain et qui correspond à notre envie de nous emparer du théâtre, un théâtre joyeux, festif et exigeant. La Compagnie Air de Lune s’intéresse particulièrement aux rapports qu’entretiennent théâtre et musique. L’Opérette imaginaire est la matière idéale pour poursuivre cette recherche. La langue de Novarina, déjà extrêmement musicale, prolonge ici son questionnement sur le rythme et sur le son. L’acte 3 nous semble le plus représentatif de l’oeuvre telle que nous voulons la montrer et surtout, le plus intéressant musicalement, car l’évolution y est à suivre d’un point de vue uniquement rythmique. Et mettre en scène 1h40 de L’Opérette imaginaire nous semblait déjà un grand défi à relever.
Nous voulons parvenir à un spectacle fou où la langue serait en constante éruption, où les acteurs pourraient danser le texte avec leur gorge et leurs pieds et provoquer aux spectateurs la plus grande jouissance

Janvier 2006 au Lavoir Moderne Parisien dans le cadre des « Nourritures Novarina »
– le 08 avril 2009 › Théâtre de Cachan (Cachan)
– du 19 au 20 mars 2009 › L’Apostrophe-Scène Nationale (Cergy-Pontoise)
– le 03 mars 2009 › Théâtre Municipal de Laval (Laval)
– du 25 au 27 février 2009 › TNT – théâtre de la Cité (Toulouse)
– le 17 décembre 2008 › Le Phénix, Scène nationale – Valenciennes (Valenciennes)
– du 22 au 24 octobre 2008 › Théâtre de la Renaissance (Oullins)
– le 15 septembre 2008 › Théâtre Dijon Bourgogne Centre Dramatique National (Dijon)
– le 05 juin 2008 › Institut Français de Bucarest (Bucarest)
– le 01 juin 2008 › Festival international de Sibiu (Sibiu)
– le 22 mai 2008 › L’Onde, Espace culturel de Vélizy-Villacoublay (Vélizy-Villacoublay)
– du 13 au 15 mai 2008 › Comédie de Béthune (Béthune)
– du 14 janvier au 12 février 2008 › Théâtre de la Cité Internationale (Paris)
– du 10 au 27 janvier 2006 < Lavoir Moderne Parisien dans le cadre des « Nourritures Novarina » (Paris)