Liliom

(ou la vie et la mort d’un vaurien)
de Ferenc Molnar
traduction Kristina Rady, Alexis Moati
et Stratis Vouyoucas
(Éditions Théâtrales)

 

Mise en scène

Marie Ballet

 

Avec

Naidra Ayadi
Olivier Bernaux
Noémie Develay-Ressiguier
Boutaïna Elfekkak
Matthieu Fayette
Jean-Christophe Folly
Nelson-Rafaell Madel
Emmanuelle Ramu
Geoffroy Rondeau

 

Scénographie et costumes

Marie La Rocca
assistée de Peggy Sturm

Lumières

Emmanuel Jarousse

Coproduction

Compagnie Oui Aujourd’hui
Compagnie Air de Lune
Théâtre Arc-en-Ciel de Rungis

 

Avec le soutien de

la DRAC Île-de-France
la participation artistique du Jeune Théâtre national
en partenariat avec le Théâtre de la Tempête

Lors d’une fête foraine, Julie tombe amoureuse de Liliom, le bonimenteur. Ils se mettent en ménage, mais Liliom, maintenant au chômage, se montre de plus en plus violent et se laisse entraîner dans un braquage qui tourne mal : il se suicide plutôt que d’être arrêté et se retrouve au ciel. Après seize ans dans l’au-delà, il est autorisé à revenir sur terre pour accomplir une bonne action… Légende du théâtre populaire hongrois, la pièce, qui date de 1909, a été portée à l’écran par Fritz Lang. L’écriture à la fois violente, aride et poétique traduit aussi un drame du langage : les personnages, comme en exil d’eux-mêmes, incapables de se dire, tentent de trouver dans le rêve et dans l’imaginaire une issue à leur détresse. Le réalisme du début de la pièce, son contexte social à forte résonance contemporaine, laisse place à une féerie qui n’est pas seulement naïve et joyeuse : c’est aussi une «histoire de banlieue» brutale et désespérée.

Liliom a fait l’objet d’une présentation de maquette pour le Groupe des 20 le 17 novembre 2008 au Théâtre de l’Onde, à Velizy-Villacoublay.

Du 13 novembre au 13 décembre 2009 au Théâtre de la Tempête, Paris.

Le 16 avril 2010 au Théâtre Arc-en-Ciel de Rungis.

Le 14 décembre 2010 aux Transversales, Verdun.

Le 12 janvier 2011 à la Scène Nationale d’Orléans.

Spectacle a été filmé par Axe Sud et diffusé sur France Ô.