Laurent Coudol,

Froggy’s delight

«  La mise en scène dépouillée de Marie Ballet souligne les ambiguïtés des personnages et la musicalité du texte. Les corps des acteurs résonnent au rythme des mots, glissant parfois de manière discrète de la lumière vers l’ombre ou apparaissant tout en puissance au centre du dispositif scénique. Les forts partis-pris de mise en scène, le jeu des comédiens et le rythme particulier du texte de Koffi Kwahulé font de cette pièce une oeuvre qui, bien au-delà du constat et de la description des violences faites aux femmes, questionne le spectateur sur les racines du mal. »

29 novembre 2015