Jean-Pierre Thibaudat,

Libération

« (…) Tout cela fait mouche dans le monde désincarné du tout-communicant. D’où la formidable empathie des textes avec des jeunes acteurs et metteurs en scène. Ils trouvent là des rythmes, des échappées, des débordements qui leur parlent. On le constate avec force devant la mise en scène de Marie Ballet et Jean Bellorini, qui se ruent joyeusement dans l’Opérette imaginaire en ouverture des deux mois de «Nourritures Novarina» au Lavoir moderne parisien. (…) »

 

(28 janvier 2006)