Benjamin Goldenberg,

Théâtrorama

« (…) Ce qui frappe avant tout dans Liliom c’est l’acuité et la modernité du texte. (…) Cette violence des quartiers populaires de Budapest résonne encore aujourd’hui avec force, par l’emploi d’un langage volontairement « primitif », selon l’aveu même de l’auteur. La naïveté touchante des personnages est renforcée par une interprétation toute aussi fraîche qu’innocente. La gravité du propos gagne alors une certaine légèreté qui transforme le récit en une fable intemporelle.(… Enfin, comment ne pas se réjouir du caractère métissé de la distribution, car en plus d’être intemporelle, Liliom est universelle. »

(décembre 2009)