Caroline Fabre,

Visioscène

« (…) Du réalisme brutal du début, nous serons alors transportés dans une quatrième dimension des plus poétiques. Entre temps, nous suivrons pas à pas les aventures et trabsformations de personnages attachants grâce à une mise en scène réaliste et à des comédiens formidables, plein de vie, qui nous entraînent à leur suite, comme dans une saga captivante dont nous verrions l’intégrale en un soir. Car bien qu’écrite en 1909, cette pièce a une forte résonance contemporaine et ne date pas. »

7/12/2009