Armelle Héliot,

le Quotidien du Médecin

« (…) Ici, inutile de faire de longues dissertations : ces jeunes ont tout compris. Ils savent jouer « choral » comme l’exige « l’Opérette » et ils savent nous éblouir de numéros individuels, performances magnifiques qui prouvent à quel point cette troupe est la réunion de personnalités magnifiques.

Novarina est drôle et ces jeunes ont la grâce, la légèreté, la précision d’ « athlètes affectifs » pour reprendre la belle expression d’Antonin Artaud. C’est joyeux, enlevé, intelligent. La musique est bien jouée et emprunte à des registres très différents, comme l’interprétation dramatique elle-même. Un festival d’hommage à plusieurs formes de théâtre, classique comme forain, et d’éblouissantes images qui sont ce que l’illusion théâtrale procure de plus beau avec peu de moyens… Merveilleux et tonique. »

23 janvier 2008